Changer pour que notre monde change
Presque tout le monde est d’accord pour reconnaitre que nous changeons parce que les choses changent. Il s’agit là d’une évidence, simple constatation de la transformation de chacun au fil des années et des circonstances. Mais le plus important reste de s’ouvrir à la réalité inverse :
LES CHOSES CHANGENT, LORSQUE NOUS CHANGEONS.
• Le pouvoir de façonner notre vie nous appartient. C’est en changeant nous-mêmes que nous changeons notre monde.
• En nous concentrant sur ce qui est porteur de joie, nous attirons la joie dans notre existence.
• Le bonheur n’est pas quelque chose d’individuel. Il est temps de mettre fin au vieux mythe qui fait croire qu’on ne peut gagner qu’aux dépens des autres.
• Chacune de nos actions doit viser notre bonheur, mais aussi celui des personnes qui nous entourent.
• L’évolution personnelle conditionne l’évolution de la société, car c’est d’abord par le changement individuel que le monde peut évoluer.
POUR MIEUX COMPRENDRE : UN CONTE...
UNE VIEILLE CHINOISE POSSEDAIT DEUX GRANDS POTS DE TERRE CUITE…
… chacun suspendu aux extrémités d’une perche qu’elle transportait sur ses épaules quand elle allait chercher de l’eau. Un des pots était fêlé, alors que l’autre était en parfait état et gardait toujours la totalité de son contenu. À la fin de la longue marche menant du ruisseau à la maison, le pot fêlé n’était plus qu’à moitié rempli d’eau.
Chaque fois, donc, la vieille dame ne rapportait chez elle qu’un pot et demi d’eau. Bien sûr, le pot intact était très fier de ses accomplissements. En revanche, le pauvre pot fêlé, lui, avait honte de ses imperfections ; il se sentait triste, car il ne pouvait accomplir que la moitié du travail qu’on attendait de lui.
Après deux années de ce qu’il percevait comme un échec, il s’adressa un jour à la vieille dame, alors qu’ils étaient près du ruisseau : « J’ai honte de moi, dit-il, parce que la fêlure sur mon côté laisse l’eau s’échapper tout le long du chemin conduisant à la maison. »
La vieille dame sourit : « As-tu remarqué, répondit-elle, qu’il y a des fleurs sur ton côté du chemin, et qu’il n’y en a pas de l’autre côté ? J’ai toujours su que tu étais fêlé, donc j’ai semé des graines de fleurs au bord du chemin et, chaque jour, en rentrant à la maison, tu les arrosais. Pendant deux ans, j’ai pu ainsi cueillir de superbes fleurs. Si tu n’avais pas été comme ça, il n’y aurait pas eu cette beauté pour agrémenter la nature et la maison. »
S’affranchir du besoin de correspondre à certains modèles de réussite proposés par la société permet toujours de trouver une belle liberté.

POUR ENTRER DANS LE CHANGEMENT… UN ATELIER PRATIQUE
Se poser les bonnes questions face au changement :